IL s’agit d’une version courte (20’) de la création représentée le 31 mai 2017 sur la Scène Nationale Tropiques Atrium de Fort-de-France.
Cette version courte de la réécriture de la comédie de Louis de Boissy La Surprise de la haine a mis davantage l’accent sur les processus de créolisation linguistique. Elle a été représentée à l’Université d’Etat de Baton Rouge (LSU) le 2 février 2018.
Elle a intégré également deux divertissements inédits. Le divertissement d’ouverture a été chorégraphié sur une musique originale de Michel Béroard, « Mazur’Bach ».
Le processus de création de ces deux pièces, issu tout d’abord d’une analyse théorique de la comédie de Boissy (voir l’article joint), puis d’une réécriture de cette comédie, a été analysé dans un article à paraître : Karine Bénac-Giroux, « Peut-on faire « le tour de l’Histoire » ? Quelques considérations sur Histoires de valets, comédie féministe représentée le 31 mai 2017 à Fort-de-France ». Cet article paraîtra en anglais dans l’ouvrage dirigé par Jeffrey Leichman et Karine Bénac-Giroux chez OUSE en 2020, On the history of stage.
« La Surprise de la haine de Boissy : discordance des caractères ou triomphe de la subjectivité féminine ? », Identités métisses, dir. Françoise Quillet, L’Harmattan, 2011.